Ridha Saïdi, responsable du bureau économique d’Ennahdha, a indiqué que son parti allait revoir "le
plan jasmin" proposé par le gouvernement de transition et dont le coût est estimé à 125 milliards de
dinars sachant que 70% proviennent de l'épargne nationale et 30% des dettes extérieures. Le CPR,
pour sa part, refuse intégralement ce plan, précise-t-il.
M. Saïdi a déclaré qu’«on ne peut pas hypothéquer le pays et les générations futures». Ce que veut
modifier Ennahdha dans ce plan, c’est la partie relative aux dettes extérieures qui est excessive, selon
sa vision. «Nous payons autant pour la dette et l’intérêt de la dette : c’est beaucoup». La Grèce est
l’exemple vivant de ce qui peut arriver avec un fort endettement, poursuit-il.
Dans son plan économique, Ennahdha favorise, plutôt, les apports intérieurs du pays notamment
l’épargne nationale outre (avec une moindre importance) les apports extérieurs des IDE. Le parti veut
recourir, en dernier lieu, à l’emprunt surtout que pour l’instant la Tunisie ne fait pas l’unanimité chez
les agences de notation qui ont revu ses notes à la baisse. De ce fait, quand la Tunisie recourt au
marché international pour emprunter et vu qu’elle représente un financement risqué (à cause de ces
notations), le taux d’intérêt devient plus élevé.www.businessnews.com.tn
plan jasmin" proposé par le gouvernement de transition et dont le coût est estimé à 125 milliards de
dinars sachant que 70% proviennent de l'épargne nationale et 30% des dettes extérieures. Le CPR,
pour sa part, refuse intégralement ce plan, précise-t-il.
M. Saïdi a déclaré qu’«on ne peut pas hypothéquer le pays et les générations futures». Ce que veut
modifier Ennahdha dans ce plan, c’est la partie relative aux dettes extérieures qui est excessive, selon
sa vision. «Nous payons autant pour la dette et l’intérêt de la dette : c’est beaucoup». La Grèce est
l’exemple vivant de ce qui peut arriver avec un fort endettement, poursuit-il.
Dans son plan économique, Ennahdha favorise, plutôt, les apports intérieurs du pays notamment
l’épargne nationale outre (avec une moindre importance) les apports extérieurs des IDE. Le parti veut
recourir, en dernier lieu, à l’emprunt surtout que pour l’instant la Tunisie ne fait pas l’unanimité chez
les agences de notation qui ont revu ses notes à la baisse. De ce fait, quand la Tunisie recourt au
marché international pour emprunter et vu qu’elle représente un financement risqué (à cause de ces
notations), le taux d’intérêt devient plus élevé.www.businessnews.com.tn
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